Artillerie de ligne - 5 régiments d’artillerie à pied (n° 1 à 5) comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang, 16 batteries à pied qui servent dans les places fortes.
- 1 régiment d’artillerie-pontonniers (n°6) comprenant 1 état-major, 1 peloton hors rang, 12 compagnies de Canonniers-Pontonniers,
- 10 régiments d’artillerie montés (n°7 à 16) comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang, 10 batteries montées, qui servent avec l'armée en campagne.
- 4 régiments d’artillerie à cheval (n°17 à 20) comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang, 8 batteries à cheval, rattachés aux divisions de cavalerie.
- 12 compagnies d’ouvriers,
- 2 compagnies d’armuriers,
- 6 escadrons du train d’artillerie comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang et 5 compagnies pouvant être dédoublées en temps de guerre et former des batteries mixtes avec les batteries à pied.
Le nombre de chevaux nécessaires fut fixé à 49.839.
L’Uniforme
Malgré le rétablissement des subdivisons d’arme (artillerie à pied, montée ou à cheval), la tenue resta la même pour tous les régiments de ligne. On sépara seulement de façon très nette la grande tenue (habit, pantalon, shako) de la petite tenue portée en service ordinaire ou en campagne (veste, pantalon, képi)
- 1 régiment d’artillerie-pontonniers (n°6) comprenant 1 état-major, 1 peloton hors rang, 12 compagnies de Canonniers-Pontonniers,
- 10 régiments d’artillerie montés (n°7 à 16) comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang, 10 batteries montées, qui servent avec l'armée en campagne.
- 4 régiments d’artillerie à cheval (n°17 à 20) comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang, 8 batteries à cheval, rattachés aux divisions de cavalerie.
- 12 compagnies d’ouvriers,
- 2 compagnies d’armuriers,
- 6 escadrons du train d’artillerie comprenant chacun 1 état-major, 1 peloton hors rang et 5 compagnies pouvant être dédoublées en temps de guerre et former des batteries mixtes avec les batteries à pied.
Le nombre de chevaux nécessaires fut fixé à 49.839.
L’Uniforme
Malgré le rétablissement des subdivisons d’arme (artillerie à pied, montée ou à cheval), la tenue resta la même pour tous les régiments de ligne. On sépara seulement de façon très nette la grande tenue (habit, pantalon, shako) de la petite tenue portée en service ordinaire ou en campagne (veste, pantalon, képi)