Je me sens un peu dans la peau d’un dissident chinois, qui, seul contre l’establishment, essaie d’informer, de communiquer la vérité vraie, envers et contre tous.
Car oui messieurs, encore une fois, les Français ont perdu. Et je me dois, mettant ma vie en péril, me battre pour répandre la vérité.
Rappelons les faits
Comme à leur habitude, les Français ne sont pas à une saloperie près. D’abord ils assurèrent leurs arrières, en éliminant le petit ours gris par une attaque bactériologique, de peur qu’ils ne sabotent leur plan machiavélique. Mais cela ne suffisait pas. Pour s’assurer de la victoire, ils filèrent dans les pattes des pauvres alliés le pire joueur du club, dilettante sans figurine et sans talent mais propriétaire d’un garage, persuadés que les pauvres Espagnols et Anglais ne pourraient se remettre d’un pareil coup bas. C’était sans compter le brio du général anglais et de son second couteau espagnol, tels zorro et son fidèle Bernardo.
Et les français telles de grosses mouches bleues attirées par un délicieux miel se jetèrent dans le piège finement tendu par le seul génial stratège présent ce jour, j’ai désigné le modeste Ronie. C’est ainsi que Dimitri gaspilla toutes ses troupes comme à son habitude, qu’Aron et Cédric s’acharnèrent vainement et bêtement sur quelques cabanes et bois sans intérêts, aveugles au royaume des borgnes, que le pauvre Gaël jouait finalement la pomme dans la bouche du cochon (plus original que la cerise sur le gâteau), offert en sacrifice à Ben le Barbare, réputé brutal et sans finesse, mais efficace.
Et c’est ainsi que le fin zorro, son laquet bernardo, Ben la brute et le taulier alcoolique remportèrent sans doute la plus brillante des victoires.
C’est dit.
Un admirateur anonyme
Car oui messieurs, encore une fois, les Français ont perdu. Et je me dois, mettant ma vie en péril, me battre pour répandre la vérité.
Rappelons les faits
Comme à leur habitude, les Français ne sont pas à une saloperie près. D’abord ils assurèrent leurs arrières, en éliminant le petit ours gris par une attaque bactériologique, de peur qu’ils ne sabotent leur plan machiavélique. Mais cela ne suffisait pas. Pour s’assurer de la victoire, ils filèrent dans les pattes des pauvres alliés le pire joueur du club, dilettante sans figurine et sans talent mais propriétaire d’un garage, persuadés que les pauvres Espagnols et Anglais ne pourraient se remettre d’un pareil coup bas. C’était sans compter le brio du général anglais et de son second couteau espagnol, tels zorro et son fidèle Bernardo.
Et les français telles de grosses mouches bleues attirées par un délicieux miel se jetèrent dans le piège finement tendu par le seul génial stratège présent ce jour, j’ai désigné le modeste Ronie. C’est ainsi que Dimitri gaspilla toutes ses troupes comme à son habitude, qu’Aron et Cédric s’acharnèrent vainement et bêtement sur quelques cabanes et bois sans intérêts, aveugles au royaume des borgnes, que le pauvre Gaël jouait finalement la pomme dans la bouche du cochon (plus original que la cerise sur le gâteau), offert en sacrifice à Ben le Barbare, réputé brutal et sans finesse, mais efficace.
Et c’est ainsi que le fin zorro, son laquet bernardo, Ben la brute et le taulier alcoolique remportèrent sans doute la plus brillante des victoires.
C’est dit.
Un admirateur anonyme